La formation de Sophrologie mène à un métier. Elle est indispensable pour connaître les techniques utilisées dans les séances dispensées ensuite par le sophrologue.
L’apprentissage de ces techniques donne un socle de base, de départ.
La compréhension de la philosophie sur laquelle s’appuie la Sophrologie, c’est-à-dire la phénoménologie existentielle, permet en outre l’appropriation complète de la discipline, ce qui fait qu’on exercera vraiment la Sophrologie échappant ainsi au risque de la relaxation ou de la gymnastique voir de la psychologie. Là, réside l’essentiel du métier, utiliser une matière qui fera appel à la créativité du sophrologue.
Apprendre d’abord le cadre, qui doit être exigeant, voire absolu.
Puis intégrer les techniques en s’exerçant soi-même et en évoluant.
Enfin transmettre la discipline qui sera devenue quelque chose de particulier, à soi-même et qui ne ressemblera pas à la Sophrologie d’un autre sophrologue et qui créera sans cesse en fonction de chaque sophronisant.
C’est le plaisir de ce métier dans lequel on ne s’ennuie jamais. Tout se rejoue à chaque rencontre pour arriver à cet espace-là, il faut une formation solide, un cadre identifié, d’excellents formateurs, une pédagogie évolutive, une maitrise des techniques, une motivation certaine.
Si vous hésitez à vous former, lancez-vous, on ne regrette jamais d’avoir côtoyé la Sophrologie dans sa vie.
-Chantal Tortochot-Chéné, directrice de l’Académie de sophrologie de Paris–
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